Suivre CHOUCHOU Film Extrait - J'adore les sushis - Réalisé par Merzak Allouache (2003) Avec Gad Elmaleh, Alain Chabat, Claude Brasseur. Synopsis: Chouchou, jeune maghrébin, débarque à Paris clandestinement dans la seule intention de retrouver son neveu. Son astuce, naïve, consiste à se faire passer pour un exilé Chilien.
ï»żPour sa premiĂšre rĂ©alisation, Gad Elmaleh mettait en scĂšne la mĂ©galomanie dâun milliardaire bling-bling. Retour sur une comĂ©die qui parodie les nouveaux riches. Coco, 40 ans, richissime self-made-man a Ă©rigĂ© une fortune colossale grĂące Ă "lâeau frĂ©tillante", un subtil mĂ©lange dâeau plate et gazeuse. Cet or blanc exportĂ© dans le monde entier lui assure une rĂ©ussite insolente. Incorrigible mĂ©galomane, lâentrepreneur projette de faire de la bar-mitsvah de son fils une fĂȘte pharaonique, histoire dâĂ©pater ses centaines dâinvitĂ©s. Petit problĂšme un certain Zerbib, un concurrent jaloux, complote dans lâombre pour lui gĂącher lâĂ©vĂ©nement⊠A l'occasion de la rediffusion de la comĂ©die de et avec Gad Elmaleh, ce soir sur TFX, retour sur sa fabrication. Si dĂ©but 2009, la rĂ©daction de PremiĂšre Ă©tait un peu déçue du rĂ©sultat notre critique est Ă lire plus bas, elle avait pu poser quelques questions au crĂ©ateur de Coco. Flashback. Par Jean-Baptiste Drouet. Chouchou La mĂ©tamorphose de Gad Elmaleh Coco ? Ce nom vous dit quelque chose ? Logique ce mĂ©galo haut en couleur est lâune des vedettes de La Vie Normale, le one-man-show que Gad Elmaleh a interprĂ©tĂ© dans toute la France en 2005. En 2006, le producteur Alain Goldman, qui a pleurĂ© de rire en voyant le spectacle, glisse Ă son ami Gad "Pourquoi nâadapterais-tu pas cette figure au cinĂ©ma ?" Gad accepte Ă une condition il veut rĂ©aliser le film et interprĂ©ter le rĂŽle-titre. Il va mettre un an et demi Ă Ă©crire le scĂ©nario et Ă boucler le casting. Fan de Jean Benguigui et de Jacques Spiesser, Gad tient Ă ce que ces deux acteurs soient de lâaventure. Le premier incarne lâaffreux Zerbib, ennemi jurĂ© de Coco. Le second joue avec une classe indĂ©niable un prĂ©fet vieille France. Lorsque le tournage dĂ©bute en dĂ©cembre 2008 Ă Versailles, Gad est aux anges "Jâai pris un plaisir fou Ă passer derriĂšre la camĂ©ra", se souvient lâhumoriste. "Jâai dĂ©couvert que rĂ©aliser, câĂ©tait montrer ma perception du monde avec une totale libertĂ©." Lâhumoriste dĂ©couvre la magie du cinĂ©ma contrairement Ă la scĂšne, espace limitĂ© oĂč lâartiste ne sâexprime que par ses textes et sa gestuelle, le grand Ă©cran peut illustrer Ă grands renforts de moyens lâincroyable mĂ©galomanie de son hĂ©ros. Coco aime les belles voitures ? La production va rĂ©quisitionner une armada de Mercedes 600 noires dont les plaques minĂ©ralogiques sont siglĂ©es "COCO". Le milliardaire aime se dĂ©placer en yacht et en hĂ©licoptĂšre ? Un rutilant bateau de 50 mĂštres avec son Ă©quipage au grand complet et deux hĂ©licos sont louĂ©s une semaine pour le seul plan oĂč Gad trĂŽne, cheveux au vent, sur le pont dâun yacht lancĂ© Ă plein rĂ©gime. Pour cette autre sĂ©quence, hilarante, oĂč Coco, en peignoir et tong, se dĂ©tend au sauna, les producteurs ont privatisĂ© le Ken Club, le spa le plus chic de la capitale. Clou de ce spectacle clinquant la fameuse scĂšne finale de la bar-mitsva que Coco organise au Stade de France. Pour cette seule sĂ©quence, la plus chĂšre du film, 180 figurants, quatre groupes Ă©lectrogĂšnes, 20 semi-remorques de 33 tonnes, trente vigiles et deux hĂ©licoptĂšres sont acheminĂ©s en pleine nuit autour du vrai Stade de France. Cette logistique hors norme, qui a tout de mĂȘme coĂ»tĂ© un quart des 15 millions du budget initial, nâinquiĂšte pas outre mesure Gad Elmaleh " Aucun budget ne pourra ĂȘtre Ă la hauteur de la mĂ©galomanie de Coco ! " Voici l'interview vidĂ©o de Gad Elmaleh Ă propos de Coco, durant laquelle il assure que son personnage est inspirĂ© de vrais mĂ©galos. Sans les citer, mais on sait depuis la diffusion des Rois de l'arnaque sur Netflix que MardochĂ© "Marco" Mouly lui a certainement servi de modĂšle pour imaginer cette histoire Les Rois de l'arnaque quand la rĂ©alitĂ© dĂ©passe la fiction [critique] Notre critique de Coco Coco, câest tout lâinverse de Chouchou, hĂ©ros modeste mais heureux. MĂ©galo mais seul, ce sacrĂ© Coco-lĂ veut briller plus que le soleil avec sa Mercedes, son yacht et son gratte-ciel frappĂ©s de ses initiales. Bling-bling, il est lâostentation incarnĂ©e, offrant un immense appartement Ă sa maman et rĂȘvant dâune bar-mitsva de folie pour son fils. Mais, au terme dâune heure de vaines gesticulations sur fond de gags pesants, lâirrĂ©sistible personnage â issu du spectacle La Vie normale â sâenlise dans son fric comme Picsou dans ses monceaux dâor. Coco Elmaleh peine... Car, alors que sur scĂšne, il peut dĂ©lirer face Ă un public conquis, il oublie que le cinĂ©ma comique requiert une vraie narration, progressive, structurĂ©e, Ă©crite et impeccablement rythmĂ©e. Il manque Ă Coco cette alchimie ciselĂ©e du rire que maĂźtrisait si bien Francis Veber, qui a toujours prĂ©fĂ©rĂ© les duos comiques aux solos casse-gueule. Guillaume Depardieu et Gad Elmaleh Ă©taient les premiers choix de casting pour La VĂ©ritĂ© si je mens ! Regardezla vidĂ©o du film Coco (Gad Elmaleh Interview 10: Coco). Coco, un film de Gad Elmaleh avec Gad Elmaleh, Pascale Arbillot News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 4,5 30389 notes dont 1220 critiques noter de voirRĂ©diger ma critique Synopsis Depuis dĂ©jĂ plusieurs gĂ©nĂ©rations, la musique est bannie dans la famille de Miguel. Un vrai dĂ©chirement pour le jeune garçon dont le rĂȘve ultime est de devenir un musicien aussi accompli que son idole, Ernesto de la Cruz. Bien dĂ©cidĂ© Ă prouver son talent, Miguel, par un Ă©trange concours de circonstances, se retrouve propulsĂ© dans un endroit aussi Ă©tonnant que colorĂ© le Pays des Morts. LĂ , il se lie dâamitiĂ© avec Hector, un gentil garçon mais un peu filou sur les bords. Ensemble, ils vont accomplir un voyage extraordinaire qui leur rĂ©vĂšlera la vĂ©ritable histoire qui se cache derriĂšre celle de la famille de Miguel⊠Regarder ce film En SVOD / Streaming par abonnement Disney+Abonnement Voir toutes les offres de streaming Acheter ou louer sur CANAL VOD PremiereMax Location dĂšs 2,99 ⏠HD VIVA Location dĂšs 2,99 ⏠HD Orange Location dĂšs 2,99 ⏠Canal VOD Location dĂšs 2,99 ⏠Voir toutes les offres VODService proposĂ© par Coco Blu-ray 3D - Blu-ray 3D + Blu-ray 2D + Blu-ray bonus Blu-ray Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce Interviews, making-of et extraits 14 vidĂ©os DerniĂšres news 107 news sur ce film Critiques Presse Closer Femme Actuelle Le Journal du Dimanche Le Point Positif TĂ©lĂ© 7 Jours TĂ©lĂ© Loisirs Voici 20 Minutes Bande Ă part CNews Cahiers du CinĂ©ma Ecran Large L'Express La Voix du Nord Le DauphinĂ© LibĂ©rĂ© Le Figaro Le Parisien Les Inrockuptibles Ouest France Public TĂ©lĂ©rama VSD Franceinfo Culture L'Obs Le Monde Les Fiches du CinĂ©ma LibĂ©ration PremiĂšre Chaque magazine ou journal ayant son propre systĂšme de notation, toutes les notes attribuĂ©es sont remises au barĂȘme de AlloCinĂ©, de 1 Ă 5 Ă©toiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 31 articles de presse Critiques Spectateurs En 2013, aprĂšs le rachat tout frais de Pixar par Disney et les sorties concomitantes du douteux Rebelle » et la triste exploitation de la licence Planes », jâavais Ă©crit un article acerbe contre le studio Ă la lampe, annonçant mĂȘme sa mort artistique⊠Bon bah voilĂ quâen 2017, deux ans aprĂšs Vice-versa », Pixar sort ce Coco » ; le film qui dĂ©montre Ă quel point jâĂ©tais totalement Ă cĂŽtĂ© de la plaque. Moi, au ... Lire plus Ayayayaaaaayyyyy !!! Caramba ! VoilĂ donc cette nouvelle production de la paire Disney/Pixar⊠Eh bien personne ne lâavait vue venir celle-lĂ , mais elle est MORTELLE !! Dans le bon sens du terme, bien entendu. Car lĂ , les studios dĂ©foncent toutes les portes de la perfection pour atteindre un niveau jamais obtenu. Ni mĂȘme imaginable. LĂ , je ne vois pas comment on pourrait faire mieux et les studios concurrents ont du souci Ă se faire ... Lire plus Que dire du nouveau Disney-Pixar ? En un mot sublime ! Au dĂ©part, aprĂšs avoir vu les diffĂ©rents teaser, j'Ă©tais assez sceptique. L'histoire ne m'emballait pas, et je la trouvais pas si extraordinaire que ça. Depuis le 29 novembre, jâentends que des bonnes critiques. Du coup ce matin hop, direction le cinĂ©ma. Franchement, je ne m'attendais pas Ă prendre une telle claque. Visuellement il est magnifique. Toutes ces couleurs, donnent une ... Lire plus Je ne vais pas faire dans l'original. Je ne vais faire que confirmer les critiques dithyrambiques qui sortent sur ce film oui, Coco est un excellent film, oui, Coco est un des meilleurs Pixar Ă ce jour et oui, Coco est chef-d'oeuvre de l'animation. Loin d'ĂȘtre un simple film rĂ©servĂ© aux enfants comme d'habitude avec Pixar, le film nous questionne sur la vie, la mort, la famille, les rĂȘves et les ĂȘtres que l'on a perdus. Des messages ... Lire plus 1220 Critiques Spectateurs Photos 38 Photos Secrets de tournage Coco, de la mer...de ? Le film a Ă©tĂ© rebaptisĂ© "Viva" au BrĂ©sil ; en effet, le terme Coco Ă©tant trop proche du mot portugais cocĂŽ, signifiant "merde". De la diversitĂ© ImpulsĂ© par une idĂ©e de Lee Unkrich Toy Story 3 et signĂ© par ce dernier, Coco est Ă©galement rĂ©alisĂ© par Adrian Molina, qui a pu enrichir le projet de ses racines mexicaines. Un pas de plus vers la diversitĂ© des personnages et des Ă©quipes aux studios Disney-Pixar qui, Ă lâimage de ce qui avait Ă©tĂ© fait lâan dernier pour Vaiana, ont mis un point dâhonneur Ă engager de nombreux comĂ©diens originaires du Mexique pour constituer le casting Lire plus Si si la famille ! Le thĂšme universel de la famille trouvait un profond Ă©cho chez les crĂ©ateurs du film. Adrian Molina, co-rĂ©alisateur et scĂ©nariste, confie "Nous faisons tous partie dâune famille. Les rapports humains en son sein sont Ă la fois merveilleux et compliquĂ©s, mais ils contribuent Ă faire de nous ce que nous sommes. Cela nous a conduits Ă nous demander ce qui se passerait si nous avions la possibilitĂ© de rencontrer nos ancĂȘtres. Que reconnaĂźtrions-nou Lire plus 18 Secrets de tournage Infos techniques NationalitĂ© Distributeur The Walt Disney Company France RĂ©compenses 7 prix et 1 nomination AnnĂ©e de production 2017 Date de sortie DVD 04/04/2018 Date de sortie Blu-ray 04/04/2018 Date de sortie VOD 29/03/2018 Type de film Long-mĂ©trage Secrets de tournage 18 anecdotes Box Office France 4 503 694 entrĂ©es Budget - Langues Anglais Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 147519 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... CommentairesPassĂ©maĂźtre dans lâart de faire rire ses contemporains, Gad Elmaleh maĂźtrise toute la chaĂźne de fabrication â ou presque â de son Coco sur grand Ă©cran, puisquâen plus dâinterprĂ©ter leaudrey tautou coco avant chanel Comme chaque annĂ©e, Le Figaro publie le classement des comĂ©diens les mieux payĂ©s du cinĂ©ma français. Tour en images des acteurs qui ne connaissent pas la crise. 10. Avec 1,5 million d'euros pour un seul film Coco avant Chanel d'Anne Fontaine, l'actrice Audrey Tautou pointe Ă la dixiĂšme place du classement. En 2010, elle sera Ă l'affiche de Soins complets, une comĂ©die de Pierre Salvadori avec qui elle a dĂ©jĂ tournĂ© Hors de prix. DR gerard lanvin erreur de la banque en votre faveur 9. En 2009, on a pu voir GĂ©rard Lanvin Ă l'affiche d'EnvoyĂ©s trĂšs spĂ©ciaux dont il signe le scĂ©nario et Erreur de la banque en votre faveur, le tout pour 2,7 millions d'euros. DR coco gad elmaleh 8. Gad Elmaleh, grĂące Ă ces activitĂ©s cinĂ©matographiques, affiche un revenu de million d'euros en 2009. Son film Coco dont il est coproducteur, scĂ©nariste et rĂ©alisateur a attirĂ© 3 millions de spectateurs malgrĂ© une critique dĂ©sastreuse. DR jean reno ulliel 7. Un seul cachet mais un gros. Pour Le premier Cercle, Jean Reno a demandĂ© 2,09 millions d'euros. Si le film avait attirĂ© plus de 3 millions de spectateurs, l'acteur aurait touchĂ© d'avantage. RatĂ©, le film est un Ă©chec critique et commercial. DR Mathilde seingner tresor alain chabat 6. Mathilde Seigner, avec 3 films en 2009 dont TrĂ©sor de Claude Berry, a touchĂ© 2,1 millions d'euros. On devrait probablement la retrouver dans le mĂȘme classement l'annĂ©e prochaine. Elle sera dans Camping 2 qui sortira Ă PĂąques, film pour lequel elle a dĂ©jĂ touchĂ© un cachet d'un million d'euros. DR guillaume canet l affaire farewell 5. Le rĂ©alisateur et acteur Guillaume Canet se hisse Ă la cinquiĂšme marche du classement 2009. On a pu le voir notamment dans l'Affaire Farewell de Christian Carion. BientĂŽt sur les Ă©crans, Les Petits Mouchoirs, sa troisiĂšme rĂ©alisation, rĂ©unira Marion Cotillard, François Cluzet et Benoit Magimel. DR kad merad safari 4. Kad Merad, avec trois films en 2009 rĂ©munĂ©rĂ© chacun autour du million d'euros, s'installe au pied du podium. Safari, Le Petit Nicolas et RTT ont enrichi l'acteur de 2,75 millions. 2010 est l'annĂ©e du passage Ă la rĂ©alisation pour l'acteur des Ch'tis avec Monsieur Papa. DR lol sophie marceau 3. A la 3Ăšme marche du podium, Sophie Marceau est l'actrice la mieux payĂ©e. 4 films en 2009 et un carton LOL. GrĂące Ă son intĂ©ressement sur les entrĂ©es, l'actrice a gagnĂ© prĂšs de 500 000 euros de bonus sur ce film. Au final, elle engrange plus de 2,9 millions l'annĂ©e passĂ©e. DR dany boon micmacs Ă tire larigot 2. DeuxiĂšme place et 3 millions d'euros pour Dany Boon. Le succĂšs record de Bienvenue chez les Ch'tis ne s'est pas encore rĂ©percutĂ© sur son cachet. 2010 devrait le porter en haut du classement. Il peut dĂ©sormais prĂ©tendre Ă 2,5 millions d'euros par film. DR lucky luke jean dujardin 1. Jean Dujardin prend la tĂȘte du classement 2009 avec 4,4 millions d'euros. Ces deux films, OSS 117 Rio ne rĂ©pond plus et Lucky Luke lui ont rapportĂ© 2 millions chacun en tant que comĂ©dien. A ajouter 390 000 euros en tant que scĂ©nariste sur l'adaptation des aventures du cow boy le plus cool de l'ouest, il revient en 2010 chez Bertrand Blier Le Bruit des glaçons et chez Guillaume Canet Les Petits mouchoirs. DR Les plus lus OpinionsLa chronique de Pierre AssoulinePierre AssoulineEditoAnne RosencherChroniquePar GĂ©rald BronnerLa chronique d'AurĂ©lien SaussayPar AurĂ©lien Saussay, chercheur Ă la London School of Economics, Ă©conomiste de l'environnement spĂ©cialiste des questions de transition Ă©nergĂ©tique
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Parti de rien, immigrĂ©, il a rĂ©alisĂ© en 15 ans une des plus fulgurantes success story des temps Entretien avec StĂ©phane Lopez Cinezik Comment vous ĂȘtes vous retrouvĂ© Ă faire de la musique de film ? StĂ©phane Lopez Je viens de la scĂšne, je fais du clavier depuis que j'ai sept ans. J'ai habitĂ© Ă Arcachon prĂšs de Bordeaux et j'y ai rencontrĂ© des amis musiciens avec qui j'ai commencĂ© Ă tourner Ă l'Ăąge de 16 ans groupe de Reggae/Dub/Electro. J'ai fait aussi pas mal de Funk et j'ai commencĂ© Ă me produire Ă travers la France en temps qu'intermittent dans un orchestre de variĂ©tĂ©s. En parallĂšle, je compose depuis que j'ai 13 ans de l'Ă©lectro, me considĂ©rant plus comme un musicien de synthĂ© plutĂŽt que comme pianiste classique, n'ayant pas de formation. Et un jour, par hasard dans un salon de coiffure, j'ai rencontrĂ© HervĂ© Limeretz ancien clavieriste et arrangeur de Daniel Balavoine. AprĂšs lui avoir fait Ă©couter ce que je faisais, vers 13 ans, je suis allĂ© chez lui pour me perfectionner en tant qu'arrangeur et mĂȘme compositeur, Ă©merveillĂ© par tout le matos qu'il avait Ă l'Ă©poque dont je rĂȘvais rires. HervĂ© m'a fait rencontrer Franck Dijeau qui avait une Ă©cole de piano sur Bordeaux et c'est lĂ que j'ai appris mon mĂ©tier de musicien. J'ai arrĂȘtĂ© mes Ă©tudes Ă 17 ans, puis j'ai rencontrĂ© ma copine qui habitait sur Paris Journaliste/RĂ©alisatrice et j'ai dĂ©cidĂ© de la rejoindre pour essayer d'ĂȘtre musicien live. A l'Ă©poque, elle bossait sur un projet de documentaire sur ChimĂšne Badi et avait un problĂšme avec un morceau de musique dont elle n'avait pas les droits, donc je lui ai proposĂ© de lui faire un petit morceau rapidement et la production a bien aimĂ© et m'a proposĂ© de faire l'habillage musical de tout le documentaire. J'ai enchainĂ© ensuite pour un documentaire sur Arthur, des petites Ă©missions sur M6, TF1 et Canal+, et j'ai rencontrĂ© Gad Elmaleh pour qui j'ai fait la musique de bonus de DVD. Il a beaucoup apprĂ©ciĂ© ma rĂ©activitĂ©, ma disponibilitĂ©, suite Ă quoi, alors que j'Ă©tais toujours sur son deuxiĂšme DVD, il m'a convoquĂ© dans ses locaux autour d'un cafĂ© pour me proposer de faire la musique de son premier film COCO ; et lĂ ... grosse pression !! rires Comment s'est passĂ© le travail sur COCO ? J'ai commencĂ© par composer une dizaine de morceaux, suite Ă la lecture du scĂ©nario et quelques idĂ©es qu'on avait Ă©changĂ©es, et il a beaucoup apprĂ©ciĂ© ce premier jet que j'avais fait chez moi. J'avais intĂ©grĂ© des violons, des percussions orientales Darboukas..., etc... Et lĂ on me dit qu'il faut rĂ©orchestrer avec de vrais musiciens, parce que la musique n'Ă©tait pas exploitable en l'Ă©tat, et me voilĂ convoquĂ© par la production Legend Films qui m'a demandĂ© ce dont j'avais besoin comme formation. Je voulais une base avec des musiciens que je connaissais et avec qui je voulais bosser, plus quelques extras violons, violoncelles..., en leur disant qu'ensuite je pourrai faire des Samples pour limiter les frais, et lĂ on me dit que ça serait mieux d'avoir carrĂ©ment un orchestre... Le lendemain j'apprenais par tĂ©lĂ©phone que sous la supervision d'Edouard Dubois Compositeur, Conseiller et Superviseur musical, l'orchestre de l'OpĂ©ra plus quelques autres musiciens spĂ©cialisĂ©s, Ă©taient Ă ma disposition ; 80 musiciens rires et lĂ gros moment de solitude, j'Ă©tais entre l'excitation et la peur viscĂ©rale !!Suite à ça, j'ai rencontrĂ© le chef d'Orchestre, Bruno Bertoli ndlr avec lequel StĂ©phane a Ă©galement collaborĂ© sur Poupoupidou, il m'a expliquĂ© comment on allait rĂ©arranger mes morceaux pour qu'ils puissent ĂȘtre jouĂ©s par l'Orchestre et j'ai appris plein de choses Ă ses cĂŽtĂ©s ; et arrive le premier jour d'enregistrement, j'en menais pas large face Ă toute cette organisation, en voyant des gars rĂ©gler les micros au centimĂštre prĂšs, l'Ă©cart entre les chaises et toute cette effervescence qui monte juste avant l'arrivĂ©e de l'orchestre qui dĂ©boule dans la salle, et lĂ je suis allĂ© me cacher dans la cabine de mixage rires. Le chef d'Orchestre m'a demandĂ© de les rejoindre au micro et je me suis senti super mal Ă l'aise en traversant toute la salle au milieu des musiciens, je n'avais que 27 ans, c'Ă©tait une premiĂšre pour moi, je me disais, qu'est-ce qu'ils doivent penser de moi ?? rires Ils ont commencĂ© par un morceau qui faisait 48 secondes, qui dĂ©butait lĂ©gĂšrement avec un riff de flĂ»te et d'un coup ça partait de façon tonitruante, et moi je savais comment il sonnait dans ma maquette, mais lĂ , c'Ă©tait la premiĂšre fois que j'entendais l'un de mes morceaux jouĂ© comme ça, comme je l'idĂ©alisais en fait, et Ă la fin du morceau le chef d'Orchestre s'est retournĂ© vers moi et je me suis retournĂ© pour faire semblant de refaire mes lacets alors que j'avais des chaussures Ă scratchs, pour ne pas montrer que j'Ă©tais en train de pleurer rires, je suppose que certains ont trouvĂ© ça naĂŻf mais j'Ă©tais super Ă©mu, et sans exagĂ©rer, je crois que c'Ă©tait un des plus beaux jours de ma vie. L'enregistrement a durĂ© trois jours, c'Ă©tait le pied. Quelles sont vos rĂ©fĂ©rences musicales, vos sources d'inspiration ? Ca dĂ©pend, je ne suis pas arrĂȘtĂ© Ă un style, puisqu'on m'appelle pour des projets complĂštements diffĂ©rents, c'est tout ce que j'Ă©coute en fait, j'ai eu une grosse pĂ©riode Bob Marley and the Wailers » rires, super beau et tellement bien Ă©crit, y'a que ça qui me faisait vibrer Ă l'Ă©poque, et du Funk, de la Pop, et mĂȘme les chĆurs, j'adore les chĆurs... Pour l'Ă©lectro au tempo assez lent, j'adore Portishead, Massive Attack, Archive... ce n'est pas juste un mec derriĂšre ses machines Ă faire de la synthĂšse, ils mĂ©langent toujours avec des orchestrations de cordes et des grosses basses. Morcheeba aussi j'adore. Tout ce qui est planant en fait rires et le Funk des annĂ©es 90, Chemical Brothers , Vitalic ou encore Prodigy ; mais y'en a tellement...Pour ce qui est de la musique de film, c'est malheureux, mais Ă part quelqu'un comme John Williams que j'adore depuis mes 17 ans aprĂšs avoir vu "Les dents de la mer", Ă chaque fois que j'allais Ă la plage j'avais la musique qui me suivait, je connais personne d'autre qui sache aussi bien faire ça. RĂ©cemment je me suis revu la trilogie de "Retour vers le futur" de Alan Silvestri, c'est Ă©norme !! Ce sont des petits accents, des petites virgules musicales qui restent en tĂȘte. Venons-en Ă POUPOUPIDOU, comment vous ĂȘtes-vous retrouvĂ© dans cette aventure d'un film indĂ©pendant sans budget ? Autant sur COCO, j'ai Ă©tĂ© intĂ©grĂ© au projet alors que le scĂ©nario n'Ă©tait mĂȘme pas fini, autant pour POUPOUPIDOU, le film Ă©tait en phase finale de montage, le rĂ©alisateur GĂ©rald Hustache Mathieu avait dĂ©jĂ rencontrĂ© plusieurs compositeurs auparavant, mais il n'avait pas trouvĂ© ce qu'il cherchait. Avec la monteuse, ils avaient mis des morceaux de Cliff Martinez, de l'album de Wicker Park, et quand il m'a contactĂ© et qu'on s'est rencontrĂ©s il m'a dit "j'aimerais bien que tu t'en inspires et que tu fasses - Ă la maniĂšre de" et j'ai du mal à ça. A chaque fois que je collais trop Ă la rĂ©fĂ©rence, ce n'Ă©tait plus ma musique, et dĂšs que je m'en Ă©loignais un peu, il me disait "lĂ tu vois, ça ne ressemble plus trop", c'Ă©tait chaud. Je n'avais qu'un mois pour faire la musique avec un Quatuor Ă cordes et je pĂ©chais un peu sur quelques morceaux, du coup, je lui ai fait Ă©couter 2/3 morceaux que j'avais composĂ© avant qu'il ne me demande de m'inspirer de la musique de Cliff Martinez et en entendant un de mes morceaux, il m'a dit "mais c'est exactement ça que je recherche !!" et du coup, c'est devenu le thĂšme principal que j'ai ensuite retravaillĂ© pour dĂ©velopper les autres morceaux. Parlez-nous du VOYAGE D'INUK rĂ©alisĂ© en 2010 par Mike Magidson, aucune date de sortie prĂ©vue en France pour le moment... Pour ce film, j'ai rencontrĂ© Mike Magidson RĂ©alisateur, co-scĂ©nariste et co-producteur par le biais de sa femme, qui est une copine monteuse d'une copine de ma copine rires et je lui ai fait Ă©couter mes derniers travaux, et il Ă©tait enthousiaste pour que l'on travaille ensemble il Ă©tait Ă l'Ă©poque sur un projet de reportage sur l'A380, pour Arte/Discovery Chanel et finalement j'ai fait trois Documentaires pour lui, on est devenus amis et il m'a proposĂ© sa premiĂšre fiction. Comment s'est passĂ©e la transition entre l'illustration de documentaires Ă celle de films de fiction ? Sur le documentaire "un an avec Gad", j'ai surtout essayĂ© d'illustrer le voyage de Gad, en m'inspirant des musiques et des instruments utilisĂ©s dans le pays, alors qu'une fiction, c'est la mĂȘme histoire qu'il faut suivre, et donc ĂȘtre capable de dĂ©velopper des thĂ©matiques autour d'un axe, c'est d'ailleurs ce que j'essaie de faire de plus en plus, notamment sur un reportage Thalassa que j'ai terminĂ© il y a deux semaines. OĂč vous voyez-vous dans dix ans ? Toujours dans le milieu du cinĂ©ma ? Oui, maintenant que j'y ai goĂ»tĂ©, j'ai bien envie de poursuivre sur ma lancĂ©e rires, dĂ©jĂ progresser pour l'orchestration, l'harmonisation, rencontrer encore plus de gens et notamment d'autres compositeurs de films, parce que pour ĂȘtre honnĂȘte, je ne connais aucun autre compositeur français et encore moins Ă©tranger rires, et pourquoi pas faire de gros films. Mon rĂȘve serait de pouvoir mĂ©langer l'Ă©lectro et le classique, comme pour "Matrix". Des projets Ă venir ? Non, j'ai tellement enchainĂ© de projets diffĂ©rents, que je n'ai pas eu de temps pour dĂ©marcher, n'ayant pas d'agent et puis j'aimerai bien me poser, composer pour moi et faire mon propre album avec des styles diffĂ©rents et un fil conducteur. Et aussi parfaire mes connaissances musicales. DerniĂšrement, sur un projet pour Arte qui sera diffusĂ© en Prime-Time le 1er Avril sur les Volcans d'Islande, on m'a demandĂ© des orchestrations Ă la Danny Elfman, je connaissais un peu ce qu'il faisait sans jamais m'ĂȘtre vraiment intĂ©ressĂ© Ă son style, ni son orchestration, j'ai donc dĂ» me plonger dedans, j'ai essayĂ© de me rapprocher un peu de son univers, mais ça reste quand mĂȘme du StĂ©phane Lopez rires. Interview rĂ©alisĂ©e Ă Paris en mars 2011 par Xavier Ducamp.
Chaqueseconde, la dette de la France varie de +2 685,70⏠Chaque jour, la dette de la France varie de +232 044 198,90⏠En 2017 la dette de la France s'élevait à 2 299 800 000
Difficile de faire la fine bouche devant un film nĂ© dâune aussi louable ambition rendre hommage aux victimes françaises de lâun des plus grands crimes contre lâhumanitĂ© de tous les temps, et tĂ©moigner de ce drame auprĂšs des nouvelles gĂ©nĂ©rations pour contribuer Ă ce quâil ne puisse jamais plus se reproduire. Difficile, donc⊠mais pas impossible, car la rĂ©alisatrice Roselyne Bosch et son mari, le producteur Ilan Goldman, arrivent aprĂšs de nombreux autres auteurs qui ont su Ă©voquer cette pĂ©riode et ces Ă©vĂ©nements avec infiniment plus de talent et de 1942. Joseph Weismann, petit Parisien de onze ans, porte pour la premiĂšre fois lâĂ©toile jaune â ce qui ne lâempĂȘche pas de faire les quatre cent coups avec ses amis dans les rues de Montmartre. Autour de lui, les adultes sont partagĂ©s entre lâespoir et lâinquiĂ©tude PĂ©tain livrera-t-il les Juifs de France Ă Hitler ? Le 16 juillet, au petit matin, la famille Weismann est raflĂ©e par la police française, et conduite au VĂ©lodrome dâHiver. 13 000 juifs parisiens y sont parquĂ©s, dans des conditions extrĂȘmement dures, en attendant dâĂȘtre dĂ©portĂ©s vers des camps de transit dans le Loiret, puis vers Auschwitz dont beaucoup ne reviendront devient presque difficile de trouver un film rĂ©cent qui ne traite pas plus ou moins directement de la Seconde Guerre mondiale. Quand ils ne réécrivent pas entiĂšrement lâHistoire Ă la maniĂšre de Quentin Tarantino, leurs rĂ©alisateurs entendent tous tĂ©moigner, qui du sort rĂ©servĂ© par les Nazis aux Tziganes LibertĂ© ou aux homosexuels LâArbre et la forĂȘt, qui de la rĂ©sistance hĂ©roĂŻque dâune poignĂ©e de travailleurs immigrĂ©s dans la France occupĂ©e LâArmĂ©e du crime, qui du sentiment de culpabilitĂ© des soldats amĂ©ricains venus libĂ©rer, bien trop tardivement, les derniers rescapĂ©s des camps de la mort Shutter Island[1]Significativement, une partie de la critique française a insistĂ© sur le fait quâavec Shutter Island, Martin Scorsese Ă©voquait pour la premiĂšre fois » la Seconde Guerre mondiale â comme sâil sâagissait dĂ©sormais dâun passage obligĂ© pour tous les cinĂ©astes de quelque importance.. Cette volontĂ© de couvrir tous les aspects dâune pĂ©riode aussi chargĂ©e en drames humains que riche en leçons de courage est bien sĂ»r aussi comprĂ©hensible quâestimable, mais elle amĂšne Ă sâinterroger sur la nouvelle fonction sociale du cinĂ©ma. Le film semble de moins en moins perçu comme une Ćuvre dâart, ou lâexpression dâune pensĂ©e ou dâune sensibilitĂ©, mais plutĂŽt comme un instrument dâĂ©ducation civique et dâenseignement de lâHistoire qui viendrait se substituer Ă une Ă©cole rĂ©publicaine peinant Ă transmettre aux citoyens une mĂ©moire et des valeurs communes. Cette Ă©volution ne va pas sans risques confusion entre le rĂ©el et la fiction, entre la raison et lâĂ©motion, embrigadement du cinĂ©ma au nom du devoir de mĂ©moire, voire mythologisation du passĂ©[2]On retrouve certains de ces problĂšmes avec les biopics â les biographies filmĂ©es â, qui souvent plongent une personnalitĂ© historique dans un formol commĂ©moratif, quitte Ă en raboter la complexitĂ© et les ambiguĂŻtĂ©s pour ne pas nuire Ă lâĂ©dification des masses. Lâun des derniers exemples en date, un Gainsbourg, vie hĂ©roĂŻque au titre rĂ©vĂ©lateur, sâouvrait dâailleurs sur⊠une reconstitution de la Seconde Guerre mondiale, prĂ©sentĂ©e comme la matrice de toute lâĆuvre et de toute la vie du chanteur-compositeurâŠ.Bien sĂ»r, le didactisme nâest pas nĂ©cessairement incompatible avec une rĂ©flexion esthĂ©tique et cinĂ©matographique ; ainsi, le rĂ©cent LibertĂ© est une Ćuvre magnifique, qui ne rĂ©sume pas Ă son sujet, mais manifeste avant tout des qualitĂ©s formelles et scĂ©naristiques enthousiasmantes. Force est hĂ©las de constater que les films sur la Seconde Guerre mondiale sont le plus souvent plombĂ©s par la pesanteur de la reconstitution, et empĂȘtrĂ©s dans une certaine raideur dĂ©monstrative. MĂȘme un cinĂ©aste aussi talentueux et aguerri que Robert GuĂ©diguian est tombĂ© dans les piĂšges du vouloir-dire » avec son ArmĂ©e du crime. Roselyne Bosch, quant Ă elle, nâavait jusquâĂ ce jour signĂ© quâun seul film un Animal sorti en 2006 et qui nâa pas marquĂ© les mĂ©moires, et Ă©crit quelques scĂ©narios, dont celui du mĂ©diocre 1492 Christophe Colomb de Ridley Scott ; il paraissait donc peu probable que cette rĂ©alisatrice dĂ©butante, sâattachant Ă un projet aussi ample et ambitieux, parvienne Ă Ă©viter les Ă©cueils inhĂ©rents au surprise, elle nâen Ă©vite aucun. Au moins ne cherche-t-elle pas Ă ĂȘtre originale elle se contente dâappliquer les recettes de ses prĂ©dĂ©cesseurs, avec application mais sans une once de personnalitĂ©. Du coup, chaque scĂšne de cette Rafle donne lâimpression dâavoir dĂ©jĂ Ă©tĂ© vue mille fois, et ne semble renvoyer quâĂ dâautres images, et non au drame historique quâelles tentent de restituer. Certes, le film, appuyĂ© par une logistique imposante dĂ©cors, costumes, figuration, est indĂ©niablement bien fait », selon les critĂšres de la nouvelle qualitĂ© française⊠Mais il est surtout terriblement scolaire tout est Ă sa place, rien ne dĂ©passe, rien ne vit ni ne vibre, les violons jouent au moment oĂč ils doivent jouer, les stars du film MĂ©lanie Laurent, Gad Elmaleh[3]Le choix de cet acteur trĂšs populaire dans un contre-emploi sĂ©rieux » constitue sans doute un bon argument marketing, mais il ne contribue pas Ă crĂ©dibiliser le film⊠Non quâElmaleh joue mal, mais il y a comme un hiatus entre son personnage de trotskiste polonais et ses rĂ©centes prises de position en faveur du bouclier fiscal et contre lâimpĂŽt sur la fortune⊠Quand lâinterprĂšte de Coco appelle de ses vĆux la rĂ©volution prolĂ©tarienne », ça ressemble moins Ă un rĂŽle de composition quâĂ un mauvais jeu de mots. et un Jean Reno toujours aussi monoexpressif jouent leur partition avec une application un peu laborieuse, tandis quâune brochette dâacteurs connus Sylvie Testud, Thierry FrĂ©mont, Catherine AllĂ©gret ou encore Anne Brochet vient faire de la figuration dans des rĂŽles de victimes ou de hĂ©ros ordinaires. La construction elle-mĂȘme du film est binaire et prĂ©visible aprĂšs lâinsouciance et les scĂšnes de bonheur domestique â terriblement clichĂ©s â, survient la rafle, point de dĂ©part dâune lente descente aux enfers. La seule scĂšne un tant soit peu surprenante est, paradoxalement, la plus attendue appuyĂ©e par une musique de Philip Glass, la premiĂšre vision dâun VĂ©l dâHivâ entiĂšrement reconstruit est un moment rĂ©ellement impressionnant â mais cela relĂšve moins de choix de mise en scĂšne que du savoir-faire dâune Ă©quipe technique disposant dâun budget le dossier de presse, Roselyne Bosch confesse sâĂȘtre posĂ© beaucoup de questions en amont de son projet, et leur avoir trouvĂ©, comme seule rĂ©ponse, la sincĂ©ritĂ© ». HĂ©las, le problĂšme de la reprĂ©sentabilitĂ© dâun tel drame aurait sans doute mĂ©ritĂ© une rĂ©flexion un tantinet plus poussĂ©e, et le film aurait gagnĂ© Ă proposer des solutions narratives et esthĂ©tiques en renfort des bonnes intentions. Ainsi, sâil est comprĂ©hensible que la rĂ©alisatrice-scĂ©nariste ait tenu Ă sâattarder sur le sort poignant des enfants, son film se retrouve tout de mĂȘme guettĂ© par le syndrome La vie est belle les bambins ont tous des bouilles adorables, en particulier le gamin Nono », petite star du film insupportable Ă force dâĂȘtre mignon ; le choix de lui Ă©pargner lâhorreur et de le faire rĂ©apparaĂźtre alors quâon le pensait disparu Ă Auschwitz rappelle la fin odieuse du pĂ©nible film de Roberto Benigni. Vouloir ainsi rassurer son public en lui servant sa dose dâattendrissement et dâespoir, câest un choix plutĂŽt surprenant et pas forcĂ©ment bienvenu Ă©tant donnĂ© le Bosch est donc aussi maladroite que sincĂšre », par exemple lorsquâelle use dâimages bien trop propres et lĂ©chĂ©es pour montrer lâhorreur des camps. Difficile en effet dâĂ©voquer la promiscuitĂ©, le manque dâhygiĂšne, la faim et le dĂ©sespoir absolu Ă lâaide dâune esthĂ©tique amĂ©lipoulinesque[4]La rĂ©fĂ©rence est dâailleurs assumĂ©e Roselyne Bosch a dĂ©clarĂ© sur France Inter quâelle voyait son film comme lâAmĂ©lie Poulain de la dĂ©portation ». On ne fera pas de commentaire sur lâĂ©lĂ©gance de la formuleâŠ. LĂ encore, la comparaison avec les plans sobres, fugaces et terriblement marquants de LibertĂ© est Ă©crasante. De mĂȘme, en reconstituant des dialogues entre un faux Laval et un faux PĂ©tain, et entre un faux Himmler et un faux Hitler, le film commet un faux-pas impardonnable. Mal jouĂ©es, mal fichues, ces scĂšnes sonnent terriblement faux â on en vient Ă se dire que ce nâest pas lâextermination elle-mĂȘme qui est irreprĂ©sentable, mais plutĂŽt les discussions et les tractations politiques qui la planifient et lâorganisent ! Le film ne se relĂšve pas des scĂšnes avec Hitler, qui flirtent avec le grotesque â il faut voir cet acteur piteusement grimĂ© sâapitoyer sur le sort des animaux de boucherieâŠReconnaissons tout de mĂȘme au film de Roselyne Bosch, par-delĂ ses insuffisances bĂ©antes et ses dĂ©fauts embarrassants, une qualitĂ© somme toute prĂ©cieuse il est bien documentĂ©. Sâappuyant sur le travail de Serge Klarsfeld et sur les tĂ©moignages des rares survivants, La Rafle dĂ©veloppe une vision assez saine de la France occupĂ©e, loin de tout manichĂ©isme les Français ne sont pas tous prĂ©sentĂ©s comme des Justes, mais pas non plus comme dâinfĂąmes collabos. Si le film prĂ©sente le panel habituel dâantisĂ©mites haineux comme cette boulangĂšre caricaturalement antipathique, et de policiers lĂąches et veules au service dâofficiers allemands sadiques et glaçants, il met Ă©galement en scĂšne une foule de rĂ©sistants » ordinaires, de braves gens que leur conscience amĂšne Ă secourir leur prochain, Ă cacher les enfants de familles dĂ©portĂ©es â rappelons que la France fut le pays occupĂ© oĂč le plus dâenfants juifs furent ainsi sauvĂ©s de la barbarie nazie. Câest finalement le seul mĂ©rite de ce film ratĂ©, que de ne pas totalement faillir Ă la mission pĂ©dagogique quâil sâĂ©tait fixĂ©.
GadElmaleh dévoile sa premiÚre réalisation mercredi 18 mars. Pour son premier long métrage, l'humoriste a choisi de mettre en scÚne un de ses personnages fétiches, l'exubérant Coco . Pour son premier long métrage, l'humoriste a choisi de mettre en scÚne un de ses personnages fétiches, l'exubérant Coco.
News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Spectateurs 1,9 16664 notes dont 271 critiques noter de voirRĂ©diger ma critique Synopsis Chouchou, un jeune MaghrĂ©bin, dĂ©barque clandestinement Ă Paris dans la seule intention de retrouver son neveu. Recueilli par le PĂšre LĂ©on et le FrĂšre Jean, en charge d'une paroisse de banlieue parisienne, Chouchou trouve un emploi assurer l'entretien du cabinet d'une psychanalyste, le docteur Nicole Milovavitch, et recevoir ses dernier se rend bientĂŽt Ă Clichy Ă la recherche de son neveu, devenu "Vanessa", chanteuse romantique au cabaret L'Apocalypse. Le jeune homme y retrouve ses amis et dĂ©cide de se travestir lui aussi Ă ses heures libres. Devenu "serveuse" de nuit, il fait la rencontre de Stanislas, un quadragĂ©naire habituĂ© des lieux. C'est le coup de un patient du docteur Nicole Milovavitch, l'inspecteur GrĂ©goire, a vent de l'arrivĂ©e clandestine de Chouchou Ă Paris et de sa double personnalitĂ©... Regarder ce film Acheter ou louer sur CANAL VOD Orange Location dĂšs 2,99 ⏠PremiereMax Location dĂšs 2,99 ⏠HD VIVA Location dĂšs 2,99 ⏠HD Canal VOD Location dĂšs 2,99 ⏠Voir toutes les offres VODService proposĂ© par Voir toutes les offres DVD BLU-RAY Bande-annonce 205 Interviews, making-of et extraits 5 vidĂ©os DerniĂšres news 20 news sur ce film Acteurs et actrices Casting complet et Ă©quipe technique Critiques Presse Chronic' Le Figaro Le Monde Le Parisien Les Inrockuptibles Studio Magazine TĂ©lĂ©CinĂ©Obs CinĂ© Live L'Express Le Figaroscope Les Echos PremiĂšre TĂ©lĂ©rama Aden Cahiers du CinĂ©ma L'HumanitĂ© Zurban Chaque magazine ou journal ayant son propre systĂšme de notation, toutes les notes attribuĂ©es sont remises au barĂȘme de AlloCinĂ©, de 1 Ă 5 Ă©toiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 18 articles de presse Critiques Spectateurs Un dĂ©sastre. Un naufrage. Une nullitĂ©. Ouf ça y est j'arrive aux 50 caractĂšres minimum requis pour valider la critique allocinĂ© ! C''est vrai qu'il est vaguement sympathique ce Chouchou », Ă l'image du hĂ©ros Ă©ponyme et des personnages secondaires qui l'entourent. Le souci, c'est que lorsqu'on a ni scĂ©nario ni mise en scĂšne, c'est tout de suite beaucoup plus compliquĂ©. Ainsi c'est un peu impuissant que l'on assiste Ă une suite de sketchs oĂč l'on sourit parfois, oĂč l'on s'ennuie poliment le plupart du temps. Il faut dire que sans ĂȘtre mauvaise, ... Lire plus Ouille, quand je vois les critiques dithyrambiques pour ce film je me trouve mauvais, mais bon, j'ai pas aimĂ© et j'ai pas trouvĂ© ça bon alors... DĂ©jĂ le cĂŽtĂ© "je monte un de mes personnages de sketch en film" je trouve ça moyen, voir nul Cyprien est encore pire oui, et trop facile surtout ; mais lorsqu'on apprĂ©cie ni le cĂŽtĂ© juif, ni le cĂŽtĂ© homo/folle, ni le comique de situation prĂ©sente, et que le jeu de Gad laisse froid que ... Lire plus Chouchou comĂ©die sympathique, lĂ©ger et amusante sur le tabou de lâhomosexualitĂ© qui est traitĂ© avec humour et lĂ©gĂšretĂ©. Vraiment on passe un bon petit moment avec une histoire drĂŽle et touchant. Des personnages hauts en couleur amusant et attachant. Un casting sympa pour des acteurs aux tops. Des gags et des situations cocasse et amusante et dĂ©lirante a des moments les apparitions de coco ^^ vraiment trop drĂŽle et des rĂ©plique ... Lire plus 271 Critiques Spectateurs Photos 11 Photos Secrets de tournage Histoire du personnage Chouchou est nĂ©e de l'imagination de Gad Elmaleh quand celui-ci remarque un jour un travesti perruquĂ© de Pigalle avec un accent Ă la fois effeminĂ© et maghrĂ©bin. Il dĂ©veloppe cette idĂ©e dans son one-man-show "La Vie normale" en crĂ©ant le personnage de Chouchou, un travesti en pleine dĂ©pression "qui travaille Place Clichy". Ce sketch deviendra l'un des plus cĂ©lĂšbres du comĂ©dien français, rĂ©guliĂšrement sous le feu des rappels du Lire plus De la scĂšne au cinĂ©ma C'est un ami de Gad Elmaleh, le rĂ©alisateur Merzak Allouache, qui pousse l'artiste Ă transposer le personnage de Chouchou de la scĂšne au grand Ă©cran, idĂ©e qui avait dĂ©jĂ germĂ©e dans l'esprit du comĂ©dien. EmballĂ©s par le projet, les deux hommes ont commencĂ© Ă rĂ©unir leurs idĂ©es en vrac puis Ă coordonner la structure du scĂ©nario. Gad et Alain, un couple Avant d'ĂȘtre Ă l'affiche de Chouchou, Gad Elmaleh et Alain Chabat Ă©taient tous deux des Ă©lĂ©ments rĂ©guliers du jeu Burger Quiz de Canal +, le premier simple candidat occasionnel tandis que l'autre animait rĂ©guliĂšrement l'Ă©mission. Pourtant, quand Alain Chabat dut arrĂȘter temporairement la prĂ©sentation de l'Ă©mission pour assurer la promotion de son AstĂ©rix et ObĂ©lix mission ClĂ©opĂątre, il confiera les rĂȘnes du jeu pendant quelques temps au comĂ©die Lire plus 10 Secrets de tournage Infos techniques NationalitĂ© France Distributeur Warner Bros. France RĂ©compenses 2 nominations AnnĂ©e de production 2002 Date de sortie DVD - Date de sortie Blu-ray - Date de sortie VOD 31/01/2016 Type de film Long-mĂ©trage Secrets de tournage 10 anecdotes Box Office France 3 754 599 entrĂ©es Budget 7,64 000 000 ⏠Langues Français Format production - Couleur Couleur Format audio - Format de projection - N° de Visa 105 959 Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer ... Commentaires Ineed my spirit guide, Pepita.Imelda summons Pepita Pepita is an Alebrije who appears in the 2017 Disney/Pixar animated feature film, Coco. She is affiliated with the late members of the Rivera family as their guide-protector. Pepita is an imposing Alebrije who functions as a sort of spiritual guide for Imelda. She cannot speak; instead, she can only make animal-like roars and 12h00 , le 9 dĂ©cembre 2007 , modifiĂ© Ă 15h39 , le 19 juin 2017 Gad superstar. Sur les planches comme au cinĂ©ma devant et derriĂšre la camĂ©ra, Gad Elmaleh s'impose comme l'un des... chouchous du public. A l'affiche de Papa est en haut, son nouveau spectacle, mais aussi de Comme ton pĂšre sur grand Ă©cran, le touche-Ă -tout nous livre sa vision de la paternitĂ©. ForcĂ©ment drĂŽle et vingt mille billets Ă©coulĂ©s pour son nouveau one-man-show, un Olympia et des ZĂ©nith de province qui affichent complet, des prolongations annoncĂ©es pour l'automne prochain? Gad Elmaleh confirme qu'il est bien un des chouchous du public. De quoi faire pĂ©tiller de plaisir ses yeux bleus, mais lui mettre aussi une pression qui le rend malade. Le grand brun agite un tube d'aspirine en riant. "Rien de grave, je somatise! Pourtant, Papa est en haut, je l'ai dĂ©jĂ donnĂ© 110 fois depuis mars. Je voulais qu'il soit totalement rodĂ© avant l'Olympia. J'ai l'habitude d'Ă©crire mes spectacles en les jouant je teste, j'enlĂšve, je rĂ©essaie, je corrige encore, je peaufine? Ils sont le reflet de mes prĂ©occupations du moment." Celle d'aujourd'hui, donc? "Etre pĂšre. Pas franchement un boulot facile. A cause de mon mĂ©tier, je suis souvent absent. Ou, disons, plutĂŽt peu prĂ©sent."Papa est en haut serait-il une maniĂšre de s'en excuser auprĂšs de son petit NoĂ© de 7 ans? "Sans doute, mais ce n'est pas simple de se l'avouer. Je lui ai demandĂ© d'Ă©crire le titre du spectacle, et je l'ai mis sur les affiches. Il n'est pas peu fier! Un jour qu'on me demandait ce que j'aimerais inscrire sur ma tombe, j'ai rĂ©pondu 'Papa est en haut', la phrase de la comptine enfantine Fais dodo..., en me disant qu'au moins, cela ferait rire mon fils. Et puis j'ai rĂ©alisĂ© Ă quel point les paroles de cette berceuse sont stupides. C'est quoi, le lolo? Pourquoi Papa prĂ©pare des gĂąteaux Ă l'Ă©tage pendant que Maman fait du chocolat en bas? Au dĂ©part, ils voulaient cuisiner ensemble, mais ils se sont disputĂ©s et boudent chacun dans leur coin?""Le succĂšs ne m'a pas tournĂ© la tĂȘte"Les relations pĂšre-fils sont Ă©galement au centre de Comme ton pĂšre, le film de Marco Carmel *. CoĂŻncidence? "Je me suis reconnu dans cette histoire. J'ai quittĂ© le Maroc Ă 16 ans pour MontrĂ©al. Sans mes parents. Je pensais tellement rĂ©ussir que je n'ai rĂ©alisĂ© que plus tard qu'ils m'avaient manquĂ©. Aujourd'hui, je rattrape le temps perdu mon pĂšre est mon manager, on se voit au moins une fois par jour et on se tĂ©lĂ©phone tout le temps. Heureusement qu'il est lĂ , j'ai le sentiment qu'il me protĂšge."C'est encore un papa que Gad Elmaleh s'apprĂȘte Ă interprĂ©ter. Et pas n'importe lequel. Coco, le Juif flamboyant qui organisait la bar-mitsva de son fiston dans son deuxiĂšme spectacle, La vie normale. "Comme pour Chouchou, le travesti de la place Pigalle, j'ai eu envie de faire davantage exister ce personnage de sketch en lui consacrant un film. Dont j'assurerai la rĂ©alisation. Je veux une comĂ©die qui soit fidĂšle Ă mon univers. Coco, produit par Alain Goldman [La mĂŽme, 99 francs], parlera de l'apparence, de l'argent et du pouvoir Ă travers l'histoire de ce Juif parti de rien, totalement mĂ©galo et appelĂ© Ă devenir l'homme le plus fortunĂ© de France."Un personnage autobiographique? "Je ne suis pas richissime, mĂȘme si je gagne trĂšs bien ma vie. Je ne suis pas imbu de moi-mĂȘme, le succĂšs ne m'a pas tournĂ© la tĂȘte. Mais je partage sa volontĂ© de rĂ©ussir et son amour pour la France. Je veux dire merci Ă ce pays qui m'a donnĂ© ma chance et m'a mĂȘme fait l'an dernier chevalier des Arts et Lettres. Moi qui n'ai pas eu de diplĂŽme, j'ai pleurĂ© quand le ministre m'a remis la mĂ©daille. Un moment inoubliable qui ouvrira mon film." Tournage prĂ©vu en juin. Avec au gĂ©nĂ©rique un certain NoĂ© Elmaleh, 7 ans...Papa est en haut, Ă l'Olympia du 11 dĂ©cembre au 26 janvier. 08 92 68 33 68 0,34 euros. Et au Palais des Sports du 1er au 18 avril 2008.* Comme ton pĂšre +De Marco Carmel, avec Gad Elmaleh, Richard Berry, YaĂ«l Abecassis. 1 h les annĂ©es 1970, un Juif israĂ©lien s'installe avec sa femme et ses deux enfants Ă Paris. Il accepte de commettre des braquages pour un parrain local et se retrouve derriĂšre les barreaux. Sa famille va devoir se dĂ©brouiller seule. Si l'on est convaincu par le jeu des comĂ©diens petits comme grands, on l'est moins par cette saga familiale inspirĂ©e de la vie du rĂ©alisateur, dĂ©cousue et qui peine Ă trouver son rythme. Reste la reconstitution du Belleville des annĂ©es 1970 et quelques jolis moments de complicitĂ© entre le pĂšre et ses JDD papier| áжОĐČ ÎČÎżÖĐžÏÏ á ĐșŃÎč | Ő áŻĐ»Ö ŃΔηŃŃÎč áŒáÎčĐ· Ń |
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